La cigarette électronique : un danger ou un bien pour la santé ?

Les études sur l’impact de la cigarette électronique sur la santé
On sait que les 2 principaux composants des e-liquides ( propylène glycol et glycérol ) sont utilisés depuis plus de 50 ans dans l’industrie pharmaceutique, les études réalisées permettent à des organismes de santé publique ( FDA, EPA, NTP, INRS,…) de conclurent que les composants du propylène glycol présentent un « très faible risque pour la santé humaine », mais, en l’absence de données qualitatives et quantitatives suffisantes, il est impossible pour le moment de se prononcer avec certitudes sur l’incidence de l’utilisation de ces composants dans les cigarettes électroniques.
A ce jour, les autorités politiques et sanitaires ne considèrent pas les cigarettes électroniques comme des « produits très dangereux pour la santé » au sens communément admis du terme, il en est pour preuve la récente décision de l’union européenne de ne pas confier aux pharmacies la distribution exclusive de la cigarette électronique.

Même si on ne peut pas conclure que la cigarette électronique est 100% inoffensive, on peut tout de même affirmer que la vapeur de la cigarette électronique est infiniment moins dangereuse pour l’organisme que la fumée de tabac et ses 4000 produits reconnus toxiques dont 50 cancérigènes.
Les nitrosamines, principaux agents cancérigènes contenus dans le tabac, n’ont été détectés dans les e-liquides qu’à l’état de traces, à des taux équivalents à ceux des substituts nicotiniques tels que les patchs et qui sont 500 fois moindre que ceux que l’on retrouve dans les véritables cigarettes.
La cigarette électronique comparée à la cigarette traditionnelle
Même si on ne peut pas conclure que la cigarette électronique est 100% inoffensive, on peut tout de même affirmer que la vapeur de la cigarette électronique est infiniment moins dangereuse pour l’organisme que la fumée de tabac et ses 4000 produits reconnus toxiques dont 50 cancérigènes.
Les nitrosamines, principaux agents cancérigènes contenus dans le tabac, n’ont été détectés dans les e-liquides qu’à l’état de traces, à des taux équivalents à ceux des substituts nicotiniques tels que les patchs et qui sont 500 fois moindre que ceux que l’on retrouve dans les véritables cigarettes.
La cigarette électronique et le tabagisme passif
Même si on ne peut pas affirmer qu’il n’y a pas de tabagisme passif avec une cigarette électronique on peut par contre certifier que ses effets sont moindres voire insignifiants car contrairement à la fumée d’une cigarette électronique qui stagne et qui est chargée de particules très nocives liées à la combustion du tabac, la vapeur d’une cigarette électronique composée de micro-gouttelettes à tendance à disparaître quasi instantanément essentiellement par évaporation limitant ainsi la contamination de l’entourage par des substances nocives comme la nicotine.
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